Pourquoi l’hypnose est-elle si importante pour activer le système immunitaire ?
Résumé : Nous explorons le rôle crucial du système immunitaire dans la santé humaine, soulignant son fonctionnement complexe et sa relation étroite avec notre Conscience Supérieure. Nous décrivons le fonctionnement des cellules immunitaires, comme les cellules NK et les macrophages, dans la lutte contre les infections et les maladies. Nous cherchons à mettre en lumière les recherches révolutionnaires dans le domaine de la psycho-neuro-immunologie, montrant comment nos émotions et pensées affectent directement notre système immunitaire. Des scientifiques comme Robert Ader, David Felten, Esther Sternberg, et Sheldon Cohen ont démontré l’influence du cerveau sur les globules blancs et la vulnérabilité aux infections liée au stress. Le concept de « conscience supérieure » est introduit comme un élément clé pour accéder à un état de bien-être et renforcer le système immunitaire. L’hypnose moderne est présentée comme un moyen d’accéder à cette conscience, favorisant un équilibre entre santé mentale, émotionnelle et physique.
Dans l’organisme complexe et fascinant qu’est le corps humain, le système immunitaire joue un rôle crucial, semblable à celui d’une force de police méticuleuse et implacable au sein d’une société bien ordonnée.
Les globules blancs, infatigables gardiens de notre bien-être, patrouillent sans relâche à travers le corps, scrutant chaque recoin pour identifier et neutraliser les menaces potentielles, qu’il s’agisse de bactéries envahissantes, de cellules infectées par des virus, ou de groupes de cellules cancéreuses en pleine prolifération.
Contrairement à une police respectueuse des règles et sans armes, le système immunitaire adopte une approche bien plus agressive et directe. Lorsqu’une cellule anormale est repérée, les « cellules tueuses naturelles », cellules NK interviennent
Ces cellules NK (ou Natural Killer) interviennent avec une efficacité redoutable. Elles encerclent rapidement la cible et lui administrent un cocktail mortel de substances toxiques qui provoque la destruction immédiate de la cellule indésirable, faisant littéralement éclater sa membrane.
Après cet affrontement, d’autres acteurs du système immunitaire, notamment les macrophages, entrent en scène pour nettoyer les débris laissés par la bataille. Ces cellules spécialisées dans l’élimination des résidus et la réparation tissulaire recueillent également des informations précieuses sur les intrus, qu’elles transmettent aux cellules NK.
Cette transmission d’informations permet au système immunitaire de reconnaître et de réagir plus rapidement face à de nouvelles menaces similaires.
Il est cependant reconnu que l’efficacité de ce système de défense diminue avec l’âge. En effet, lorsqu’un organisme est confronté aux maladies du vieillissement, telles que l’arthrite, le cancer, ou les diverses formes de sénilité, la capacité du système immunitaire à combattre efficacement ces affections peut être considérablement affaiblie. Cette diminution de la performance immunitaire est un enjeu majeur dans la compréhension et le traitement des maladies liées à l’âge.
Au cours des dernières décennies, la science a fait des découvertes révolutionnaires qui ont profondément changé notre compréhension du système immunitaire. Ces découvertes ont mis en lumière une interaction complexe et dynamique entre nos pensées, nos émotions et notre système de défense biologique. Autrefois considéré comme un système isolé et indépendant, il est désormais évident que le système immunitaire est étroitement lié à notre psyché.
Dans les années 1970, Robert Ader,
un pionnier dans ce domaine, a démontré que le comportement des globules blancs peut être modifié par conditionnement, un phénomène similaire à la réponse conditionnée observée chez les chiens de Pavlov. Cette découverte fondamentale a ouvert la voie à une toute nouvelle compréhension de l’immunologie.
Dix ans plus tard, David Felten a apporté une explication à ce phénomène fascinant.
Ses recherches ont révélé que la moelle osseuse, responsable de la production et du stockage des globules blancs, est directement influencée par des ramifications neuronales provenant du cerveau. Cette connexion anatomique entre le cerveau et le système immunitaire a été une révélation majeure.
Presque simultanément, des travaux menés par Esther Sternberg
ont confirmé l’existence de récepteurs sur les globules blancs capables de recevoir des signaux neuro-hormonaux envoyés par le cerveau. Cela signifie que nos cellules immunitaires peuvent littéralement « entendre » les messages envoyés par notre cerveau, intégrant ainsi nos états émotionnels et psychologiques dans leurs réponses.
Plus récemment, des recherches menées par Sheldon Cohen
ont établi un lien direct entre l’anxiété psychologique et la vulnérabilité aux infections, comme le rhume.
Cohen a démontré que les individus soumis à un stress élevé sont plus susceptibles de développer des symptômes après avoir été exposés à un virus.
Ces découvertes soulignent l’impact concret de l’état psychologique sur la fonction immunitaire : lorsque le moral flanche, le système immunitaire tend à le suivre.
Ces découvertes ont inauguré l’ère de la psycho-neuro-immunologie,
un domaine de recherche qui explore les interactions bidirectionnelles entre le système nerveux, le système endocrinien, et le système immunitaire. Elles ont révolutionné notre compréhension de la santé humaine, soulignant l’importance cruciale de l’équilibre émotionnel et psychologique dans le maintien d’une bonne santé immunitaire.
D’où l’importance de l’accès à cette conscience supérieure, la partie la plus profonde et la plus originelle de nous, et qui contrôle TOUT.
Les récentes découvertes scientifiques concernant les interactions entre notre état psychologique et le système immunitaire que ce soient les travaux de Robert Ader, de David Felten d’ Esther Sternberg et de Sheldon Cohen ont véritablement bouleversé notre compréhension de la santé humaine.
Ces avancées mettent en exergue l’importance primordiale de l’équilibre émotionnel et psychologique pour le maintien d’une bonne santé immunitaire.
L’impact de nos pensées, de nos émotions et de notre bien-être mental sur notre capacité à combattre les maladies n’est plus à démontrer.
Ce lien intrinsèque souligne la nécessité de développer une conscience plus profonde et plus connectée à notre être intérieur, que j’appelle la conscience supérieure.
Cette conscience supérieure représente plutôt la partie la plus profonde et la plus originelle de notre être, qui influence considérablement notre état de santé.
Cette partie de nous, qui contrôle tant d’aspects de notre existence, est intimement liée à notre système immunitaire et à notre santé globale.
En accédant à cette conscience, nous pouvons potentiellement déclencher des mécanismes de guérison, renforcer notre résilience face aux stress, à l’anxiété et maladies, et favoriser une approche holistique de notre bien-être.
L’importance de cette prise de conscience est d’autant plus cruciale dans notre monde moderne, où le stress, l’anxiété et les troubles émotionnels peuvent facilement déséquilibrer notre système immunitaire.
En cultivant des pratiques de bien-être par l’accès à la conscience supérieure (ACS) forme moderne de l’hypnose*,
nous pouvons améliorer notre connexion avec cette conscience profonde et originelle. Cela peut conduire à un état d’équilibre où le corps et l’esprit fonctionnent de manière synchronisée et harmonieuse, optimisant ainsi notre santé et notre bien-être général.
En définitive, ces perspectives novatrices offrent une vision plus intégrée de la santé, où l’équilibre émotionnel et psychologique n’est pas seulement bénéfique pour notre bien-être mental, mais est également un composant essentiel pour maintenir un système immunitaire fort et réactif. Cette interdépendance souligne l’importance de prendre soin de notre santé mentale et émotionnelle, tout autant que de notre santé physique.